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Monthly Archives: février 2020

Un week-end EXPLOSIF au championnat de région

Un week-end EXPLOSIF au  championnat de région

Que d’émotions et de complicité lors de ce week-end d’haltérophilie au cours duquel 8 athlètes de LaComp. se sont qualifiés.

Nous sentions tous une tension palpable, accompagnant l’espoir de passer ces barres de qualification tant espérées. Bien que ce sport soit individuel, les compétitions nous permettent de nous rapprocher, nous entraider et de nous encourager pour nous surpasser ensemble.

Cette ambiance hors norme a été rendue possible par l’HC Marseille et l’équipe de Jackie T., qui a organisé ce rassemblement.

De belles performances ont été enregistrées à Marseille avec une qualification au Championnat de France (Istres) pour miss Raphaëlle R. chez les U17 et Annika E. au France master (Saint-Médard).

Une qualification au Championnat d’Europe (Hollande) pour Romain O. (owner de Crossfit Gaius à Aix) et des performances de niveau mondial pour des qualifications haut la main au Championnat du monde master (qui auront lieu en Floride) pour Sandrine P. et Karine F.

Annika E. qualifiée au championnat de France Master haltérophilie la compagnie de la barre crossfit
Annika E. qualifiée au championnat de France Master

Tous ensemble, tous ensemble, ouais, ouais !

Un petit mot pour les copains des autres clubs avec des qualifications au kilo près pour Maxime B. qui part pour le Championnat fédéral dans sa catégorie, et à Axel T. qui accède au Championnat de ligue.

N’oublions pas de remercier Oscar P. toujours présent lui aussi pour vous accompagner chaque week-end de compet ! Vient-il pour le sport ou pour le « pot de l’amitié », on ne saura jamais !!
Un grand bravo à vous tous, votre travail, votre temps, vos week-ends, votre force… Vous êtes géniaux et l’association est fière de voir cet engouement, cette simplicité et convivialité créés autour de ce sport.

Nous avons eu des frissons et même perdu les quelques cheveux qu’il me restait… Dimanche en rentrant du deuxième jour de compet, nous nous sommes dit : « Quel beau projet, quel groupement, quelle compagnie effectivement. » Nous sommes ravis d’en être déjà arrivé là pour une première saison qui n’est même pas encore terminée.

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CrossFit à l’école : témoignage de notre Co-ach institutrice, Sophie !

CrossFit à l’école : témoignage de notre Co-ach institutrice, Sophie !

« Hier, j’ai eu (encore) cette conversation avec une amie, pourtant dans le milieu du sport, cette conversation sur le sport et les charges additionnelles pour les enfants, le sport à partir de quel âge ? Le sport est-ce bon pour la croissance et les articulations…

Nous sommes devenus sédentaires

J’enfonce une porte ouverte, mais d’où le sport serait néfaste pour les enfants ? Plus néfaste que boire du lait pour les faire grandir (dixit la pub) ? Plus néfaste que de jouer à la tablette dans le canapé ? Ou plus néfaste que de leur dire « ne bouge pas » ?!

Mon papa est né dans les années 40, il vivait à la ferme et, très tôt, il a porté des seaux et des bidons, des bottes de foin, sauté des haies et des murets, et ce de manière quotidienne. Son enfance était faite de ces travaux, est-il devenu nain ou bossu ? Du tout ! Au contraire, il a continué cette activité qui est devenue son travail durant toute sa vie.

Un manque de rigueur scientifique

L’idée selon laquelle manipuler des charges externes serait mauvaise pour la croissance des enfants se base sur une très vieille étude qui date de la fin du XIXe siècle sur une population d’enfants qui a eu des fractures à la suite d’accidents.

Ils n’ont en aucun cas choisi une population d’enfants qui ne présentaient aucune pathologie (comme dans Game Changers, la question de la méthode scientifique se pose…). Ces enfants blessés ont donc fait de « l’haltérophilie » avec leurs médecins pendant plusieurs semaines. À la fin de l’étude : ils boitent, ne grandissent pas bien. Je vous laisse tirer vous-mêmes les conclusions… Et si c’était la faute de leur accident et d’une mauvaise rééducation de leurs fractures plutôt que de la faute des charges ?

N’empêche que, depuis plus de 100 ans, on pense que ce sport est mauvais pour les enfants, c’est comme le fer dans les épinards (une erreur de frappe de virgule dans le rapport d’analyses).

La musculation a un impact positif sur le développement musculo-squelettique

Ouf ! Nous sommes en 2020 et la science a fait des progrès. On sait avec certitude que l’emploi de charges externes et les mouvements poly-articulaires sont BONS et NÉCESSAIRES pour le développement des enfants, ils favorisent l’ostéogenèse (croissance osseuse) et permettent de lutter contre l’obésité.

La question de l’âge : je rappelle que la scolarité est obligatoire à partir de 3 ans et que dans les Programmes de l’Education nationale, la motricité est une activité qui doit être quotidiennement pratiquée par les enfants, ce n’est qu’à l’école primaire que les APS passent à 3 heures par semaine. Les kids ont besoin de bouger, de se mouvoir dans l’espace, de grimper, de porter, de lancer, de s’exprimer avec leur corps pour le renforcer et en prendre pleinement conscience.

À noter également qu’à l’entrée au collège, les enfants auront des cartables atteignant parfois la moitié de leur poids de corps, autant leur apprendre les bons gestes et les bonnes postures en plus de les renforcer dès le plus jeune âge. Ce renforcement ne pourra s’exercer qu’avec l’utilisation de charges externes, bien sûr pas à 100 kg.

Pour les enfants, il faut bien sûr veiller à l’intensité en fonction de leur âge, de leur fatigabilité, de leur développement, de leur rythme et de leur envie.

CrossFit Kids, la meilleure activité physique !

Le CrossFit Kids, pourquoi ? Je crois que le principal atout de cette méthodologie est l’aspect ludique, en effet le jeu occupe une place centrale dans le CrossFit Kids. Toute séance de CrossFit Kids se conclut par un jeu, jeu collectif, jeu de cohésion ou jeu traditionnel, on s’amuse ensemble, pas « contre », afin de développer au maximum l’esprit d’équipe, d’entraide et le renforcement de l’esprit communautaire si prégnant dans le CrossFit.

Le CrossFit à l’école est très développé aux États-Unis et au Canada, dans beaucoup d’écoles, on commence la journée par un entraînement avec si possible de la gym à base de postures inversées (handstand, bear walk, wall walk …), car on sait désormais qu’avoir la tête en bas stimule des hormones qui aident dans les acquisitions scolaires et la concentration, et joue également un grand rôle dans l’apaisement émotionnel.

Les enfants qui s’entraînent régulièrement ensemble sont moins enclins aux disputes et aux conflits, ils se connaissent et se respectent davantage. Aucune hésitation, le CrossFit c’est pour tous les enfants ! Rejoignez le futur et inscrivez vos enfants au CrossFit dans une box affiliée avec des coachs certifiés et diplômés.

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Portrait d’adhérents : Stéphane, Laurent et Aurélie #CFV

Portrait d’adhérents : Stéphane, Laurent et Aurélie #CFV

La French Co : Présentez-vous de manière individuelle en quelques mots

LC : Bonjour, je m’appelle Laurent, j’ai bientôt 47 ans et je fais du CrossFit à La French Co depuis… ???? au secours Kévin j’ai Alzheimer !!!

AM : Je m’appelle Aurélie, mariée, 2 enfants, et je fais du CrossFit depuis avril 2018. 

SL : Je suis Stéphane, marié et papa de Victor et Marie-Charlotte. Oui vous connaissez bien ma petite dernière à Vitrolles : un WOD portait son prénom il y a presque un mois 😉

La French Co : Comment décririez-vous votre relation au travail… et à la box ? Est-elle différente ?

LC : Au travail comme à la box, l’ambiance est très bonne, la box est devenue une extension du bureau, en plus en tant que patron Aurélie et Stéphane ont interdiction formelle d’être meilleurs que moi !

AM : Je dirais même l’ambiance est plus que bonne ! Que ce soit à la box comme au travail, on se dépasse et on se challenge dans la joie et la bonne humeur.

SL : Nous avons une relation de confiance et j’ai une grande affection pour Aurélie et Laurent ! Au travail comme à la box, nous relevons les défis et gagnons ensemble, avec le meilleur des esprits possible.

La French Co : Comment avez-vous découvert le CrossFit ? Qui a commencé en premier et a entraîné l’autre ?

LC : Un ami m’a fait participer à un WOD de découverte à Fréjus avec Corentin de CrossFit des Ponts. Après le cours, il m’a donné les coordonnées de Kévin et, le jour suivant, j’étais inscrit à Black Box Vitrolles ! À force d’en parler au bureau, j’ai réussi à entraîner Stéphane, puis Aurélie.

AM : J’ai commencé à travailler avec Laurent et Stéphane en février 2018. Il était impératif pour moi de trouver mon activité d’entre 12 h et 14 h et je voulais absolument changer de « sport » . En discutant avec eux, je me suis laissé entraîner dans l’aventure.

SL : J’ai commencé en 2018 après pas mal de « laisser-aller », j’ai toujours fait du sport, mais durant les dernières années d’entraînement, je me suis profondément ennuyé. J’ai voulu me reprendre en main durant 2017 et grâce à l’exaltation de Laurent pour le CrossFit et aux résultats sur son physique, je me suis lancé !  Plus qu’un sport, j’ai retrouvé une vraie hygiène de vie.

La French Co : Quel(s) sport(s) pratiquiez-vous auparavant ?

LC : J’ai commencé le sport assez jeune, j’ai fait de la natation de 7 à 17 ans, puis de la course à pied.

AM : J’ai commencé à me bouger sur le tard, et avant le CrossFit, mon « sport » était tout simplement la salle avec cours en vidéo et tapis roulant ! Oui j’ai bien mis sport entre guillemets parce que quand on vient de la salle, qu’on fait un wod, on se rend vite compte que le mot « sport » n’a plus la même signification ! 

SL : Je suis fils de coureur de fond (24h et 100kms) donc j’ai été très tôt initié à la course à pied. J’en ai été dégoûté vers mes 16 ans. J’ai pratiqué pas mal de sports collectifs en parallèle jusqu’à mes 20 ans : football, basket ball, voley-ball. Je me ensuite fixé en salle de musculation au départ de ma vie professionnelle, jusqu’à commencer le CrossFit il y a deux ans.

La French Co : Continuez-vous à pratiquer une ou des autres disciplines ? Si oui, que vous apporte le CrossFit dans celle(s)-ci ? 

LC : Non, je me consacre à 100 % au CrossFit

AM : Non, 100 % CrossFit avec pour la détente et la rigolade des courses à obstacles avec mon autre team des filles de la box de 12 h 30 (#dédicace).

SL : Non, 100 % au CrossFit. J’y trouve le dépassement personnel d’un sport individuel, avec le partage et les encouragements d’un sport collectif.

La French Co : Que vous apporte le CrossFit dans votre vie professionnelle ? 

LC : Être bien dans son corps permet d’être bien dans sa tête, cela aide beaucoup au niveau professionnel. « No pain No gain » est une valeur du CrossFit qui m’accompagne dans ma vie professionnelle. 

AM : J’ai besoin de me vider la tête pour poser et réorganiser mes idées. Et quoi de mieux que le CrossFit pour ça !! Cela m’a aussi appris que si quelque chose te paraît infaisable, que nenni ! Alors dans le travail, je me dis pareil : on y va et on y arrivera ! 

SL : Cela m’apporte un vrai équilibre, j’évacue le stress et les frustrations. Je renforce également grâce au staff et à tous les adhérents mon sens du collectif : respect mutuel et empathie.

La French Co : Sans vous consulter au préalable, pourriez-vous décrire le CrossFit en 4 mots maximum ?

LC : Communauté et partage, Dépassement de soi, Persévérance, Satisfaction

AM : Satisfaction, Mental, Soutien, Challenge

SL : Cœur, Mental, Force et Communauté.

La French Co : Racontez-nous votre premier WOD ensemble

LC : Je n’ai pas de souvenir exact de ce moment, mais je me rappelle avoir été content de les voir dans la box.

AM : On n’a pas vraiment fait de wod en team à ce jour. Je me rappelle qu’à mon inscription, je ne voulais pas les croiser parce que j’avais peur ! (rires) Les garçons sont plus souvent sur le créneau de 11 h 30 et moi 12 h 30 et quand on rentre au bureau, on debrief sur nos perfs du jour !

SL :  Je me souviens du premier team wod avec Lolo, je me rappelle avoir cru mourir !

La French Co : Qu’appréciez-vous dans la discipline ?

LC : J’ai un petit faible pour l’endurance et la gym, mais l’haltéro me plaît aussi, même si à mon âge les barres lourdes restent un rêve…

AM : J’aime voir que je m’améliore en tout. Les poids des KB ou DB augmentent doucement mais sûrement, mon cardio tend à s’améliorer, ma mobilité aussi et j’ai eu un début de déclic pour la partie gym ! Le chemin est encore long, mais patience j’y arriverai ! 

SL : Venant de la musculation, je préférais l’haltéro au début ; mais comme sur le chemin de l’entraînement j’ai laissé 15 kg, je me régale autant à la gym qu’à l’endurance !

La French Co : Quelle est votre plus grande fierté ou victoire ? Et à quel moment avez-vous ressenti de la fierté personnelle pour vous et vos collègue ? 

LC : Récemment dans un WOD, j’ai réussi à faire 17 MU aux anneaux ! Incroyable ! C’était ma journée !!! Mais mon plus grand souvenir est mon premier MU barre un samedi matin à la box avec Lolo Amosso, Olive et Pierrot qui avait immortalisé ce moment sur son tel. J’apprécie beaucoup voir Aurélie et Stéphane progresser dans des mouvements comme les DU ou les pull-up…

AM : C’est simple, j’ai fait mon 1er wod sans élastique pour les pull-up sur le 20.5, pas le choix c’était déjà le sc donc c’était le jour ! Forcément, un peu en galère, j’ai pas passé les 40, mais j’en ai fait plus de la moitié et je revois encore tout le monde autour de moi me crier dessus pour me dire « allez encore une ! Encore une ! » Concernant Laurent, je ressens de la fierté et de l’admiration à me dire que j’ai un boss qui arrive à faire tout ça ! Pour Stéphane, j’aime le voir en PLS a quasi tous les cours ! Il n’est pas dans le demi-mesure et il se donne toujours à fond !

SL : Je n’ai pas un souvenir précis mais dans l’ensemble, le fait de finir dans le « time cap » de plus en plus de « wod » en Rx me rend assez fier. 

La French Co : Quels étaient vos objectifs en vous inscrivant ici ? Ont-ils évolué par la suite ? 

LC : En m’inscrivant, je voulais trouver un sport qui me permette de rester en forme, j’y ai trouvé bien plus que ça !

AM : On ne va pas se mentir, à l’inscription oui je voulais me tonifier, mais je voulais perde du poids. Mon état d’esprit et mes objectifs ont changé : je veux passer tous les mouvements de gym, me dire que je suis encore loin de mes vraies RM1, etc. Et en fait je m’affine doucement, mais toniquement !

SL : J’ai démarré pour reprendre une activité, j’ai voulu opéré une transformation physique et j’ai redécouvert une hygiène de vie.

La French Co : Avez-vous observé des changements sur le plan physique et mental ? 

LC : Physiquement mon poids n’a pas bougé, mais mon corps s’est musclé, mentalement j’ai appris à souffrir et à ne pas abandonner !

AM : J’ai découvert des muscles dont je ne soupçonnais pas l’existence et ça commence à prendre forme. Avant le CrossFit, je ne connaissais pas la #fracturementale ! J’ai appris que des fois il faut passer par là pour se relever plus fort ! 

SL : Cela m’a permis de retrouver une bonne musculature, mais surtout du cardio et grosse perte de poids. Retrouver sa ligne et le gagner en cardio : ça change la vie. Les mouvements et la vie au quotidien… Cela a même agi sur mon enthousiasme.

La French Co : Quelle place prend le CrossFit dans vos vies respectives ? Comment organisez-vous votre vie professionnelle et familiale pour réussir à vous entraîner ? 

LC : Une place à part entière ! Je privilégie les créneaux entre 11 h 30 et 12 h 30, nos bureaux sont à Vitrolles à 5 mn de la box. Le week-end, les premiers créneaux du matin. Ma famille adhère totalement à ma démarche, mais il faut parfois savoir faire quelques concessions, notamment le week-end.

AM : Mariée, 2 enfants et une vie de femme active, forcément il faut s’organiser et être bien entourée. J’ai une double chance. Perso, car j’ai un mari au top qui m’encourage et qui comprend quand je repars le lundi soir à mon cours de gym de 20 h à 21 h ou quand je mets le réveil le dimanche matin pour aller à l’endurance. Pro, car si je ne suis pas au bureau à 14 h pétante ils savent que je suis en train de me remettre d’un wod qui tue puisqu’ils l’ont probablement fait avant moi !

SL : J’avoue que l’organisation est parfois difficile, mais je ne souhaite plus, comme cela a pu être le cas par le passé, que ma santé soit une variable d’ajustement organisationnelle. Je réapprends à organiser mes priorités.

La French Co : À quelle fréquence vous entraînez-vous ? Plutôt ensemble ou séparés ?

LC : Dans le meilleur des cas jusqu’à 6 entraînements par semaine (surtout le samedi et dimanche). On fait avec Stéphane assez souvent le WOD de 11 h 30 et Aurélie celui de 12 h 30. Il nous arrive de nous retrouver sur les WOD du samedi ou dimanche

AM : En moyenne 5 à 7 fois par semaine, mais avec des cours variés et parfois le même jour ; les wod, la gym, le strech, l’endurance ! De quoi varier les plaisirs ! On est souvent sur des créneaux différents, mais ça nous arrive de nous retrouver ensemble ou a des cours en parallèle. 

SL : Entre 5 et 7 fois par semaine et souvent avec Lolo.

La French Co : Vos autres collègues non pratiquant comprennent-ils votre mode de vie ? 

LC : On ne leur a pas forcément posé la question, mais quand on parle CrossFit au bureau, quand on fait le debrief des WOD ou quand ils voient l’état de nos mains… ils nous prennent pour des fous !

AM : On ne désespère pas de les rallier à la cause ! Il y en a 2 qui ont franchi un petit cap et qui sont venus observer de l’estrade, mais ça leur a fait plus peur qu’autre chose !

SL : Oui je pense qu’ils comprennent à peu près tous, car ils ont déjà été enthousiasmés par un sport qui leur plaît. Mais on va quand même organiser une journée découverte pour toute la société avec Pierre 😉

La French Co : Envisagez-vous de faire une compétition ensemble ? Si cela est déjà fait, pourriez-vous nous la raconter ?

LC : Nous n’en avons jamais fait, mais oui on en a déjà parlé et si possible nous en ferons une.

AM : Non pas encore de compète ensemble, mais ça me botte bien ! J’ai quelques mouvements à passer avant quand même !

SL : Oui depuis peu je leur ai soumis l’idée. J’ai besoin d’améliorer quelques mouvements, mais la compétition m’attire de plus en plus.

La French Co : Connaissez-vous les forces et faiblesses de vos collègues ? Si oui, lesquelles ? Est-ce les mêmes qu’au travail ?

LC : Au CrossFit, Aurélie comme Stéphane progressent énormément et ils commencent à prendre beaucoup de plaisir. De manière générale, ils ont le caractère qu’il faut pour persévérer dans le CrossFit !

AM : Laurent pratique depuis longtemps, il se connait et sait très bien se gérer, ce qui est un plus dans la pratique du CrossFit. Pour Stéphane, on en discutait il y a peu, il avait tendance à trop charger parfois, laissant la technique ou le fait de finir un wod de côté. Il a appris à pratiquer en scaled tout en gardant l’optique de se dépasser, c’est ce qui va le faire de nouveau progresser je pense. 

SL : Aurélie et Laurent sont des battants, mais je pense que le piège qu’ils doivent éviter est de trop resté sur leur acquis.

La French Co : Avez-vous un message à faire passer à ceux et celles qui hésitent encore à franchir le pas et s’inscrire entre collègues ? 

LC : N’hésitez plus !!! Le CrossFit est une aventure riche de sentiments en plus d’être un outil formidable de la remise en forme. 

AM : Il faut foncer. Cela crée de nouveaux liens bénéfiques dans les relations professionnelles entre collègues, sans parler de tout ce que cela apporte à côté.

SL : Il ne faut pas hésiter, c’est un sport fédérateur et pleins de valeurs à partager avec tous !

Rétrospective sur le I-LIFT niveau 1, séminaire d’haltérophilie

Rétrospective sur le I-LIFT niveau 1, séminaire d’haltérophilie

Une journée sur-mesure !

Athlètes et coachs de différents niveaux étaient présents, ayant pour chacun ses propres objectifs. Certains attendaient un déclic et de petits conseils pour améliorer leur technique, d’autres des clés pédagogiques et une vision différente sur la manière d’enseigner.

Il n’a fallu que peu de pluie, quelques cafés et l’évocation du mot « kouign-amann » pour mettre à l’aise Joachim Israël, créateur de ILIFT , notre coach venu du Nord pour la journée.

C’est la présentation des participants et de leurs attentes qui a déterminé le déroulement du séminaire.

photo séminaire formation haltérophilie crossfit I LIFT joachim israel la compagnie de la barre
photo séminaire formation haltérophilie crossfit I LIFT joachim israel la compagnie de la barre

La boîte à out’s

Nous repartons avec de nouveaux axes de progression, une boîte à outils plus complète grâce à de nouveaux exercices. Nous avons tous hâte de pouvoir participer au niveau 2 qui, nous l’espérons, se déroulera encore l’an prochain dans une des salles où pratiquent les haltérophiles de La Comp.

Merci à Corentin, head coach de CrossFit Des Ponts, pour l’hébergement du séminaire, à tous les participants et à Joachim bien sûr pour son investissement.

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